Proposition de "Cadavre exquis"

Piop, voici une petite proposition de:


Cadavre exquis,

Vous vous demandez probablement, "mais de quoi parle encore ce baka (bouffon, abruti) ?"

Eh bien voici l’explication de nos amis de chez wiki :

Le cadavre exquis est un jeu collectif inventé par les surréalistes vers 1925.
Voici la définition qu'en donne le Dictionnaire abrégé du surréalisme : « jeu qui consiste à faire composer une phrase, ou un dessin, par plusieurs personnes sans qu'aucune d'elles puisse tenir compte de la collaboration ou des collaborations précédentes. L'exemple devenu classique, qui a donné son nom au jeu, tient dans la première phrase obtenue de cette manière : “Le cadavre - exquis - boira - le vin - nouveau” ».
Il fut inventé dans la maison du 45 rue du Château où habitaient Marcel Duhamel, Jacques Prévert et Yves Tanguy. Il n'était au départ qu'une activité ludique, selon André Breton : « Bien que, par mesure de défense, parfois, cette activité ait été dite, par nous, « expérimentale », nous y cherchions avant tout le divertissement. Ce que nous avons pu y découvrir d'enrichissant sous le rapport de la connaissance n'est venu qu'ensuite. » (Médium n° 2, 1954)

J’ai découvert ce jeu sur un autre forum en faisant une recherche sur google à partir du mot « cadavre » (comme quoi je m'éclate !!).
Sur le forum en question il y à une légère variante. Selon wiki, la phrase ou le texte doit être construite par plusieurs personnes sans que celle-ci tiennent compte de ce qui a été fait précédemment ; or sur ce forum les participants créent une histoire en tenant compte des personnages (uniquement ceci) présenté par les autres joueurs.

Je vous propose de construire une histoire en procédant de la même manière que sur ce forum, si le résultat nous déçoit, nous pourrons toujours tenter avec les règles de base.

Pour plus de clarté, lorsque vous continuerez un texte, veillez à le précéder par le texte des personnes avant vous.

Voici une proposition d’entame :

Un matin de printemps, un groupe de 8 amis partis en randonnée s’éveil au son des cris des marmottes…….. à vous ……

Have fun ! :rendeer:

Ya presque pas de fautes dans ton texte lio!! c'est word qui t'as corrigé??
L'idée du cadavre exquis n'est pas mauvaise je trouve! ^^


Un matin de printemps, un groupe de 8 amis partis en randonnée s’éveil au son des cris des marmottes.
Enchantés par cet eveil mélodieux, tous reste tranquilement dans leur sac de couchage lafuma -4°C, et écoutent les marmottons appeler leur maman: "mi-mi-mi". Ce joli cadre est soudain déchiré par un hurlement lointain: "HAAAAAaaaaaaa..."

Un matin de printemps, un groupe de 8 amis partis en randonnée s’éveil au son des cris des marmottes.
Enchantés par cet eveil mélodieux, tous reste tranquilement dans leur sac de couchage lafuma -4°C, et écoutent les marmottons appeler leur maman: "mi-mi-mi". Ce joli cadre est soudain déchiré par un hurlement lointain: "HAAAAAaaaaaaa..."
Ce cris provenait d'un des membres dénomé "Jacky" , en effet celui ci voulant ce soulager d'un besoin naturel , ne trouvait plus le petit oiseaux pour le faire tellement la nuit avait été froide ,surment du a son sac de couchage de marque queshua qui ne protegea qua -2° C !!! Prisent de panique, les marmottons couraient de partout et ...

Un matin de printemps, un groupe de 8 amis partis en randonnée s’éveille au son des cris des marmottes.
Enchantés par cet eveil mélodieux, tous reste tranquilement dans leur sac de couchage lafuma -4°C, et écoutent les marmottons appeler leur maman: "mi-mi-mi". Ce joli cadre est soudain déchiré par un hurlement lointain: "HAAAAAaaaaaaa..."
Ce cris provenait d'un des membres dénomé "Jacky" , en effet celui ci voulant ce soulager d'un besoin naturel , ne trouvait plus le petit oiseaux pour le faire tellement la nuit avait été froide ,surment du a son sac de couchage de marque queshua qui ne protegea qua -2° C !!! Prisent de panique, les marmottons couraient de partout.

Le marmottons infirme, dénommé Jean-Louis ne pu dévier sa trajectoire d'un ENORRRRRRME caca géant fraîchement pris par le gel. Ce pauvre marmottons avait 2 pattes plus courtes du côté gauche, ce qui explique sa mésaventure. Le pauvre était couché dans la déjection géante regardant les arbres tous majestueusement décorés de papier toilette usagé.

Petite précision : toute ressemblance à des faits réels n'est que pure coincidence.

Si ça vous dit, je propose que chaque personne écrive ds une couleur différente. Ceci nous permettra une analyse caractérielle.

La ouiche
Fredouille
RIP
Nikess


Un matin de printemps, un groupe de 8 amis partis en randonnée s’éveille au son des cris des marmottes.
Enchantés par cet eveil mélodieux, tous reste tranquilement dans leur sac de couchage lafuma -4°C, et écoutent les marmottons appeler leur maman: "mi-mi-mi". Ce joli cadre est soudain déchiré par un hurlement lointain: "HAAAAAaaaaaaa..."
Ce cris provenait d'un des membres dénomé "Jacky" , en effet celui ci voulant ce soulager d'un besoin naturel , ne trouvait plus le petit oiseaux pour le faire tellement la nuit avait été froide ,surment du a son sac de couchage de marque queshua qui ne protegea qua -2° C !!! Prisent de panique, les marmottons couraient de partout.
Le marmottons infirme, dénommé Jean-Louis ne pu dévier sa trajectoire d'un ENORRRRRRME caca géant fraîchement pris par le gel. Ce pauvre marmottons avait 2 pattes plus courtes du côté gauche, ce qui explique sa mésaventure. Le pauvre était couché dans la déjection géante regardant les arbres tous majestueusement décorés de papier toilette usagé.
Lorsque Jean-Louis réussi à se décoller de la grosse merde, il alla se frotter contre la tente 3 secondes qui était occupé par 3 filles. Ces dernières effrayées par le bruit, se décide à sortir de la tente avec chacune un ustensile de cuisine à la main. Brigitte, la plus courageuse pris un bleuet et l'alluma à fond. Les 3 amies tombe sur Jean-Louis et avec un accès de panique se jettent sur lui, malheureusement pour lui, avec ses pattes gauche plus courtes, il ne parvient pas à s'enfuir. Jean-Louis se retrouve perforé par un couteau et une fourchette, mais il n'aura souffert que le temps que sa fourrure se consume. Dans un dernier élan de courage il réussi à se jeter sur la tente qui pris également feu.

Un matin de printemps, un groupe de 8 amis partis en randonnée s’éveille au son des cris des marmottes.
Enchantés par cet eveil mélodieux, tous reste tranquilement dans leur sac de couchage lafuma -4°C, et écoutent les marmottons appeler leur maman: "mi-mi-mi". Ce joli cadre est soudain déchiré par un hurlement lointain: "HAAAAAaaaaaaa..."
Ce cris provenait d'un des membres dénomé "Jacky" , en effet celui ci voulant ce soulager d'un besoin naturel , ne trouvait plus le petit oiseaux pour le faire tellement la nuit avait été froide ,surment du a son sac de couchage de marque queshua qui ne protegea qua -2° C !!! Prisent de panique, les marmottons couraient de partout.
Le marmottons infirme, dénommé Jean-Louis ne pu dévier sa trajectoire d'un ENORRRRRRME caca géant fraîchement pris par le gel. Ce pauvre marmottons avait 2 pattes plus courtes du côté gauche, ce qui explique sa mésaventure. Le pauvre était couché dans la déjection géante regardant les arbres tous majestueusement décorés de papier toilette usagé.
Lorsque Jean-Louis réussi à se décoller de la grosse merde, il alla se frotter contre la tente 3 secondes qui était occupé par 3 filles. Ces dernières effrayées par le bruit, se décide à sortir de la tente avec chacune un ustensile de cuisine à la main. Brigitte, la plus courageuse pris un bleuet et l'alluma à fond. Les 3 amies tombe sur Jean-Louis et avec un accès de panique se jettent sur lui, malheureusement pour lui, avec ses pattes gauche plus courtes, il ne parvient pas à s'enfuir. Jean-Louis se retrouve perforé par un couteau et une fourchette, mais il n'aura souffert que le temps que sa fourrure se consume. Dans un dernier élan de courage il réussi à se jeter sur la tente qui pris également feu.
Le membre dénommé "Charles-Antoine" sort de sa tente, éberlué par le spectacle qui s'offre à lui. "Mais non, ce n'est pas un rêve... un marmottons qui crame ma propre tente ?!" Cette tente qu'il avait si gracieusement prêté à ses 3 amies !!. Le spectacle devenait encore plus irrationnel lorsque Charles-Antoine cru reconnaître un vieux morceau de chili con carné dont il s'était délecté la veille. Ce morceau brun orangé l'avait fait attrocement souffrire cette nuit, il ne pu d'ailleurs pas s'en débarasser sans pousser un petit hurlement dans l'obscurité de la forêt quelques heure s plus tôt. L'attroce douleur acide l'avait fait utiliser un rouleau entier de Lotus à la fleur de lys qu'il avait jeté de ci de là. Mais que diable pouvait il faire accroché à la fourrure de cette bête et étalé sur sa tente ?!. S'en était trop, il voulait comprendre...

Un matin de printemps, un groupe de 8 amis partis en randonnée s’éveille au son des cris des marmottes.
Enchantés par cet eveil mélodieux, tous reste tranquilement dans leur sac de couchage lafuma -4°C, et écoutent les marmottons appeler leur maman: "mi-mi-mi". Ce joli cadre est soudain déchiré par un hurlement lointain: "HAAAAAaaaaaaa..."
Ce cris provenait d'un des membres dénomé "JACKY" , en effet celui ci voulant ce soulager d'un besoin naturel , ne trouvait plus le petit oiseaux pour le faire tellement la nuit avait été froide ,surment du a son sac de couchage de marque queshua qui ne protegea qua -2° C !!! Prisent de panique, les marmottons couraient de partout.
Le marmottons infirme, dénommé Jean-Louis ne pu dévier sa trajectoire d'un ENORRRRRRME caca géant fraîchement pris par le gel. Ce pauvre marmottons avait 2 pattes plus courtes du côté gauche, ce qui explique sa mésaventure. Le pauvre était couché dans la déjection géante regardant les arbres tous majestueusement décorés de papier toilette usagé.
Lorsque Jean-Louis réussi à se décoller de la grosse merde, il alla se frotter contre la tente 3 secondes qui était occupé par 3 filles. Ces dernières effrayées par le bruit, se décide à sortir de la tente avec chacune un ustensile de cuisine à la main. Brigitte, la plus courageuse pris un bleuet et l'alluma à fond. Les 3 amies tombe sur Jean-Louis et avec un accès de panique se jettent sur lui, malheureusement pour lui, avec ses pattes gauche plus courtes, il ne parvient pas à s'enfuir. Jean-Louis se retrouve perforé par un couteau et une fourchette, mais il n'aura souffert que le temps que sa fourrure se consume. Dans un dernier élan de courage il réussi à se jeter sur la tente qui pris également feu.
Le membre dénommé "CHARLES-ANTOINE" sort de sa tente, éberlué par le spectacle qui s'offre à lui. "Mais non, ce n'est pas un rêve... un marmottons qui crame ma propre tente ?!" Cette tente qu'il avait si gracieusement prêté à ses 3 amies !!. Le spectacle devenait encore plus irrationnel lorsque Charles-Antoine cru reconnaître un vieux morceau de chili con carné dont il s'était délecté la veille. Ce morceau brun orangé l'avait fait attrocement souffrire cette nuit, il ne pu d'ailleurs pas s'en débarasser sans pousser un petit hurlement dans l'obscurité de la forêt quelques heure s plus tôt. L'attroce douleur acide l'avait fait utiliser un rouleau entier de Lotus à la fleur de lys qu'il avait jeté de ci de là. Mais que diable pouvait il faire accroché à la fourrure de cette bête et étalé sur sa tente ?!. S'en était trop, il voulait comprendre...
Il scruta la forêt, pensif, en se demandant ce qui avait bien pu provoquer une telle panique chez des bêtes habituellement passives... De leur côté, les marmottes s'étaient concertées entre elles et avaient décidées de se venger, furieuses d'avoir été réveillées par une personne incapable de maitriser ses matières, et accessoirement désireuses de venger la mort du petit Jean-Louis. Elles ramassèrent méthodiquement toutes les merdes congelées qui jonchaient le sol de leur habitat, si propre d'habitude, et les lancèrent sur le camp de nos huit larrons. Ceux qui n'étaient pa encore réveillés sortirent en trombe de leur tente, et tous se ruèrent dans la forêt en poussant des hurlements genre massacre de civils par rebelles Tutsis (ou équivalent), certains encore crispés par les coliques de la nuit...

Un matin de printemps, un groupe de 8 amis partis en randonnée s’éveille au son des cris des marmottes.
Enchantés par cet eveil mélodieux, tous reste tranquilement dans leur sac de couchage lafuma -4°C, et écoutent les marmottons appeler leur maman: "mi-mi-mi". Ce joli cadre est soudain déchiré par un hurlement lointain: "HAAAAAaaaaaaa..."
Ce cris provenait d'un des membres dénomé "JACKY" , en effet celui ci voulant ce soulager d'un besoin naturel , ne trouvait plus le petit oiseaux pour le faire tellement la nuit avait été froide ,surment du a son sac de couchage de marque queshua qui ne protegea qua -2° C !!! Prisent de panique, les marmottons couraient de partout.
Le marmottons infirme, dénommé Jean-Louis ne pu dévier sa trajectoire d'un ENORRRRRRME caca géant fraîchement pris par le gel. Ce pauvre marmottons avait 2 pattes plus courtes du côté gauche, ce qui explique sa mésaventure. Le pauvre était couché dans la déjection géante regardant les arbres tous majestueusement décorés de papier toilette usagé.
Lorsque Jean-Louis réussi à se décoller de la grosse merde, il alla se frotter contre la tente 3 secondes qui était occupé par 3 filles. Ces dernières effrayées par le bruit, se décide à sortir de la tente avec chacune un ustensile de cuisine à la main. Brigitte, la plus courageuse pris un bleuet et l'alluma à fond. Les 3 amies tombe sur Jean-Louis et avec un accès de panique se jettent sur lui, malheureusement pour lui, avec ses pattes gauche plus courtes, il ne parvient pas à s'enfuir. Jean-Louis se retrouve perforé par un couteau et une fourchette, mais il n'aura souffert que le temps que sa fourrure se consume. Dans un dernier élan de courage il réussi à se jeter sur la tente qui pris également feu.
Le membre dénommé "CHARLES-ANTOINE" sort de sa tente, éberlué par le spectacle qui s'offre à lui. "Mais non, ce n'est pas un rêve... un marmottons qui crame ma propre tente ?!" Cette tente qu'il avait si gracieusement prêté à ses 3 amies !!. Le spectacle devenait encore plus irrationnel lorsque Charles-Antoine cru reconnaître un vieux morceau de chili con carné dont il s'était délecté la veille. Ce morceau brun orangé l'avait fait attrocement souffrire cette nuit, il ne pu d'ailleurs pas s'en débarasser sans pousser un petit hurlement dans l'obscurité de la forêt quelques heure s plus tôt. L'attroce douleur acide l'avait fait utiliser un rouleau entier de Lotus à la fleur de lys qu'il avait jeté de ci de là. Mais que diable pouvait il faire accroché à la fourrure de cette bête et étalé sur sa tente ?!. S'en était trop, il voulait comprendre...
Il scruta la forêt, pensif, en se demandant ce qui avait bien pu provoquer une telle panique chez des bêtes habituellement passives... De leur côté, les marmottes s'étaient concertées entre elles et avaient décidées de se venger, furieuses d'avoir été réveillées par une personne incapable de maitriser ses matières, et accessoirement désireuses de venger la mort du petit Jean-Louis. Elles ramassèrent méthodiquement toutes les merdes congelées qui jonchaient le sol de leur habitat, si propre d'habitude, et les lancèrent sur le camp de nos huit larrons. Ceux qui n'étaient pas encore réveillés sortirent en trombe de leur tente, et tous se ruèrent dans la forêt en poussant des hurlements genre massacre de civils par rebelles Tutsis (ou équivalent). Certains encore crispés par les coliques de la nuit devaient se résigner à surveiller le camp sous peine de déclencher quelques "pets suspitieux" par de trop brusques mouvements.

Didiou, ce cadavre exquis est une réussite lio! Mais je ne pensais pas que ça serait aussi violent

Pour résumer la situation actuelle, nous avons:
- nos 8 randonneurs toujours en vie (Janane n'a parlé qu'une fois pour l'instant, c'est vrai) , dont JACKY qui n'arrive plus à faire ses petits besoin car certaines parties gelées.
- une marmotte infirme (Jean Louis) morte empalée, évicérée et brûlée au 7ème degré (...)
- trois tueuses de marmottes
- une tente badigonnée de caca humain, en flamme suite à la mésaventures de Jean Louis
- un clan de marmottes (200 têtes au bas mot j'imagine) furax, ayant par dessus tout le désire de massacrer les 8 campeurs par esprit de vengeance...

C'est ainsi que se termine la 1ere partie mouarfff, ca promet!
(en tout cas merci janane de nous avoir sorti de l'impasse à caca!)

lol c clair que y a de l'imagination chez tout le monde hihi!!

Rongé par le remords, JACKY revint vers le camp. Le spectacle qui l'y attendait lui arracha un cri:
"Mâtin! Quel désastre!"
Les quelques compagnons retenus au camp par leurs désordres intestinaux avaient profité de la délocalisation de la débâcle pour s'approprier les réserves de Kro, 1664, et autres fûts divers et variés. Tous baignaient dans leurs déjections et aucun ne daigna ouvrir un oeil aux invectives du sus-cité Jacky.
Mais notre héros avait un autre souci à gérer: turlupiné par son crime, il alla se recueillir sur la fourrure carbonisée de Jean-Louis, qui bruissait doucement dans la brise de l'aurore. Une larme instantanément congelée se versa sur la patte postérieure gauche partiellement amputée de la bête tandis que Jacky se faisait violence pour se souvenir des versets appris du temps où il était enfant de choeur à l'église de son village.
Suant littéralement la tristesse, il avança une main tremblottante afin de clore les yeux de la petite boule de poils, reniflant un filet de morve en voie de cristallisation. Au moment de toucher les cils ténus de sa victime, il sentit un poids terrible s'abattre sur ses frêles épaules...

Afin que l'histoire reste une histoire, nous avons convenu qu'il valait mieux pour tout le monde que les noms de perso ne soient pas des prénoms des membres de cadavre

Lionel devient donc "Charles-Antoine"
Fred devient "Jacky"

Hm, la suite

Un matin de printemps, un groupe de 8 amis partis en randonnée s’éveille au son des cris des marmottes.
Enchantés par cet eveil mélodieux, tous reste tranquillement dans leur sac de couchage lafuma -4°C, et écoutent les marmottons appeler leur maman: "mi-mi-mi". Ce joli cadre est soudain déchiré par un hurlement lointain: "HAAAAAaaaaaaa..."
Ce cris provenait d'un des membres dénommé "JACKY" , en effet celui ci voulant ce soulager d'un besoin naturel , ne trouvait plus le petit oiseaux pour le faire tellement la nuit avait été froide ,surement du a son sac de couchage de marque queshua qui ne protège que jusqu'à -2°C !!! Pris de panique, les marmottons couraient de partout.
Le marmottons infirme, dénommé Jean-Louis ne pu dévier sa trajectoire d'un ENORRRRRRME caca géant fraichement pris par le gel. Ce pauvre marmottons avait 2 pattes plus courtes du côté gauche, ce qui explique sa mésaventure. Le pauvre était couché dans la déjection géante regardant les arbres tous majestueusement décorés de papier toilette usagé.
Lorsque Jean-Louis réussi à se décoller de la grosse merde, il alla se frotter contre la tente 3 secondes qui était occupé par 3 filles. Ces dernières effrayées par le bruit, se décident à sortir de la tente avec chacune un ustensile de cuisine à la main. Brigitte, la plus courageuse pris un bleuet et l'alluma à fond. Les 3 amies tombe sur Jean-Louis et avec un accès de panique se jettent sur lui, malheureusement pour lui, avec ses pattes gauche plus courtes, il ne parvient pas à s'enfuir. Jean-Louis se retrouve perforé par un couteau et une fourchette, mais il n'aura souffert que le temps que sa fourrure se consume. Dans un dernier élan de courage il réussi à se jeter sur la tente qui pris également feu.
Le membre dénommé "CHARLES-ANTOINE" sort de sa tente, éberlué par le spectacle qui s'offre à lui. "Mais non, ce n'est pas un rêve... un marmottons qui crame ma propre tente ?!" Cette tente qu'il avait si gracieusement prêté à ses 3 amies !!. Le spectacle devenait encore plus irrationnel lorsque Charles-Antoine cru reconnaitre un vieux morceau de chili con carné dont il s'était délecté la veille. Ce morceau brun orangé l'avait fait atrocement souffrir cette nuit, il ne pu d'ailleurs pas s'en débarrasser sans pousser un petit hurlement dans l'obscurité de la forêt quelques heures plus tôt. L'atroce douleur acide l'avait fait utiliser un rouleau entier de Lotus à la fleur de lys qu'il avait jeté de ci de là. Mais que diable pouvait il faire accroché à la fourrure de cette bête et étalé sur sa tente ?!. S'en était trop, il voulait comprendre...
Il scruta la forêt, pensif, en se demandant ce qui avait bien pu provoquer une telle panique chez des bêtes habituellement passives... De leur côté, les marmottes s'étaient concertées entre elles et avaient décidées de se venger, furieuses d'avoir été réveillées par une personne incapable de maitriser ses matières, et accessoirement désireuses de venger la mort du petit Jean-Louis. Elles ramassèrent méthodiquement toutes les merdes congelées qui jonchaient le sol de leur habitat, si propre d'habitude, et les lancèrent sur le camp de nos huit larrons. Ceux qui n'étaient pas encore réveillés sortirent en trombe de leur tente, et tous se ruèrent dans la forêt en poussant des hurlements genre massacre de civils par rebelles Tutsis (ou équivalent). Certains encore crispés par les coliques de la nuit devaient se résigner à surveiller le camp sous peine de déclencher quelques "pets suspicieux" par de trop brusques mouvements.

Rongé par le remords, JACKY revint vers le camp. Le spectacle qui l'y attendait lui arracha un cri:
"Mâtin! Quel désastre!"
Les quelques compagnons retenus au camp par leurs désordres intestinaux avaient profité de la dé localisation de la débâcle pour s'approprier les réserves de Kro, 1664, et autres futs divers et variés. Tous baignaient dans leurs déjections et aucun ne daigna ouvrir un oeil aux invectives du sus-cité Jacky.
Mais notre héros avait un autre souci à gérer: turlupiné par son crime, il alla se recueillir sur la fourrure carbonisée de Jean-Louis, qui bruissait doucement dans la brise de l'aurore. Une larme instantanément congelée se versa sur la patte postérieure gauche partiellement amputée de la bête tandis que Jacky se faisait violence pour se souvenir des versets appris du temps où il était enfant de choeur à l'église de son village.
Suant littéralement la tristesse, il avança une main tremblotante afin de clore les yeux de la petite boule de poils, reniflant un filet de morve en voie de cristallisation. Au moment de toucher les cils ténus de sa victime, il sentit un poids terrible s'abattre sur ses frêles épaules...

Mais trés vite le poids se transforma en soulagement puis en colère... En effet, il n'était pas responsable de ce crime atroce ! Ce sont les 3 grognaces à qui il avait prété sa magnifique tente qui ont manipulé les objets ayant causé des blessures mortel à ce mignon petit marmotton..
Jacky décide tout de même de fermer les yeux de la pauvre bête, mais surprise, au moment il ses doigts entre en contact avec le reste de paupière, il y a les yeux qui se collent sur son index et son majeure. Pris de panique, il retire brusquement sa main, emportant dans son geste brusque les globes oculaire ainsi qu'une matière visqueuse.
Excédé par tant de cruauté, il se lève et foure un oeil sous le nez de ses copines responsables de cet marmoticide. Les 3 se mettent à vomir de concert, mais Jacky n'en démord pas, il les jettes à terre et leur fais ravaler leur vomis mêlé à un peu de jus d'oeil.

Puré, lionel y'a des passages compliqués à comprendre, passe à l'atelier français après la conjugaison stp.

Jacky décide tout de même de fermer les yeux de la pauvre bête, mais surprise, au moment il ses doigts entre en contact avec le reste de paupière, il y a les yeux qui se collent sur son index et son majeure. Pris de panique, il retire brusquement sa main, emportant dans son geste brusque les globes oculaire ainsi qu'une matière visqueuse.
Excédé par tant de cruauté, il se lève et foure un oeil sous le nez de ses copines responsables de cet marmoticide. Les 3 se mettent à vomir de concert, mais Jacky n'en démord pas, il les jettes à terre et leur fais ravaler leur vomis mêlé à un peu de jus d'oeil.

C'est dommage d'avoir changé le nom d'un personnage... Est-ce que ça te rappelerais des souvenirs Lionel ? Moi, j'ai une impression de "déjà vu" sur ce passage.

Ecoute, c difficile d'ecrire après avoir lu les textes de 5 - 6 personnes !!

Je te chie dans l'oreil droite !!

Nikess a écrit:

Moi, j'ai une impression de "déjà vu" sur ce passage.[/b]

Eh ben... et ct quoi comme pauvre bête?

oh, que de violence...
Fred, t'a entendu parler des droits d'auteur?
ps: jaime pas le nom jacky, ca fait trop film daction japonais
:face:

pourquoi toujours dans l'oreille ?

En fait, je parle de ces passages :

"Le marmottons infirme, dénommé Jean-Louis ne pu dévier sa trajectoire d'un ENORRRRRRME caca géant fraichement pris par le gel. Ce pauvre marmottons avait 2 pattes plus courtes du côté gauche, ce qui explique sa mésaventure. Le pauvre était couché dans la déjection géante regardant les arbres tous majestueusement décorés de papier toilette usagé."

Imaginez vous un instant ce qu'a pu ressentir le marmottons... et bien j'étais pas loin de me retrouver à sa place cet été

"Ce morceau brun orangé l'avait fait atrocement souffrir cette nuit, il ne pu d'ailleurs pas s'en débarrasser sans pousser un petit hurlement dans l'obscurité de la forêt quelques heures plus tôt. L'atroce douleur acide l'avait fait utiliser un rouleau entier de Lotus à la fleur de lys qu'il avait jeté de ci de là. Mais que diable pouvait il faire accroché à la fourrure de cette bête et étalé sur sa tente ?!"

"Certains encore crispés par les coliques de la nuit devaient se résigner à surveiller le camp sous peine de déclencher quelques "pets suspicieux" par de trop brusques mouvements."



Mais je n'en dirait pas plus... Certaines choses semblent confidentielles pour cetaines personnes qui ne se gênent pourtant pas pour affirmer que j'ai déjà visité tous les champs de mais d'alsace et testé toutes les feuilles de tous les végétaux de France et de navarre.

Ceci dit, il m'en faudrait pas trop pour révéler ces confidentialités...

Huh, l'est mort le cadavre exquis!! On s'en réessaye un?!? hop los; je donne un début:

23h45, forte pluie, 110km/h. Epuisé, Ippo rentre chez lui en voiture par une petite route traversant la forêt, quand soudain il aperçoit la silhouette d'un jeune enfant au milieu de la route. Arrivant à trop grande vitesse, Ippo tente de l'éviter.

(Ippo )
Pour que ce soit plus facile et (peut être) plus marrant pour tout le monde, je propose que chacun n'écrive qu'une seule phrase à chaque fois
A vous!

23h45, forte pluie, 110km/h. Epuisé, Ippo rentre chez lui en voiture par une petite route traversant la forêt, quand soudain il aperçoit la silhouette d'un jeune enfant au milieu de la route. Arrivant à trop grande vitesse, Ippo tente de l'éviter.
23h46, forte pluie, 0km/h. Attéré, Ippo actionna les essuie-glaces afin d'essuyer le sang dégoulinant sur le pare-brise, mais le mécanisme se bloqua sur le corps inerte de la fillette; tout en hurlant et en appuyant sur la pédale de frein, Ippo sentait que la voiture se rapprochait de plus en plus des arbres.

23h45, forte pluie, 110km/h. Epuisé, Ippo rentre chez lui en voiture par une petite route traversant la forêt, quand soudain il aperçoit la silhouette d'un jeune enfant au milieu de la route. Arrivant à trop grande vitesse, Ippo tente de l'éviter.
23h46, forte pluie, 0km/h. Attéré, Ippo actionna les essuie-glaces afin d'essuyer le sang dégoulinant sur le pare-brise, mais le mécanisme se bloqua sur le corps inerte de la fillette; tout en hurlant et en appuyant sur la pédale de frein, Ippo sentait que la voiture se rapprochait de plus en plus des arbres


[b]La fillette était helas bien morte (paix a son âme)voir même démambré !! Un bras par la , l'autre par la, une jambe ici et l'autre encore accroché sans parler de la tete qu'on pourrait utiliser comme porte clef pourtant ...